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Parker Lane Group redéfinit l’économie du recommerce et redistribue les cartes

PRESS RELEASE
By Press Club

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Raffy Kassardjian CEO of Parker Lane Group, courtesy of the brand

Les achats d’occasion ne sont certainement pas un phénomène nouveau pour les entreprises comme pour les consommateurs. En riposte à la fast fashion et à la vente au détail « toxique », le recommerce est reconnu comme une nouvelle solution durable face à des problèmes longtemps restés sans réponse et commence à changer la notion de « déchet ».

Avec l’essor des friperies, du recyclage et du recommerce de luxe, on estime que la revente de vêtements représentera à elle seule un marché de 64 milliards de dollars d’ici 2024. Mais comment sommes-nous entrés dans l’économie du recommerce et qu’est-ce que cela induit dans la façon de gérer les stocks excédentaires ?

Les consommateurs sont devenus des détaillants

Les sites de revente sont nés au milieu des années 90 avec l’émergence d’eBay et d’Amazon. Ils se sont ensuite progressivement transformés en plateformes de commerce électronique multicanal. Alors que les sites ont commencé à se développer, ils ont offert aux marques l’occasion d’élargir leur portée grâce aux nouveaux modèles de consommation. L’engagement d’égal à égal offert par ces sites a permis aux consommateurs de revendre facilement des vêtements et d’autres articles, en mettant moins l’accent sur la durabilité que sur le pragmatisme.

Aujourd’hui, la prolifération du recommerce sur le marché de la mode a provoqué l’essor des plateformes de revente C2C, telles que Depop, Vinted et Etsy. Ces sites créent des communautés fondées sur l’esprit d’entreprise et permettent aux consommateurs de devenir des « marques » en soi. D’ailleurs, 57 % des membres de la génération Z et 50 % des Millennials ont déclaré privilégier la revente avant l’achat d’articles de luxe. Les jeunes, en particulier la génération Z et les Millennials, achètent dans l’intention de revendre plutôt que de rester propriétaires de façon permanente, ce qui prolonge le cycle de vie des produits.

Les consommateurs ont prouvé l’existence d’un marché florissant pour le modèle de recommerce. Contrairement aux marques, dans les armoires des consommateurs, les vieux vêtements ne sont pas des « déchets » honteux, mais plutôt un moyen libérateur, durable et frugal de gérer les excès ; le mot « déchet » ne faisant pas partie de leur vocabulaire. C’est ce genre de nouveau langage de l’excès qui a attiré l’attention des marques.

Les marques ont toujours adopté a posteriori l’évolution des mentalités et des tendances des consommateurs. Ce n’est que récemment que l’essor du marché du luxe, dirigé par les consommateurs, a incité les marques de mode à explorer le recommerce comme une solution plus durable et plus lucrative aux stocks excédentaires. Cette prise de conscience s’est produite, par le biais d’initiatives de revente en interne et de partenariats stratégiques. La relation croissante entre les places de marché B2C et les marques de mode a renforcé la réputation du luxe « d’occasion ». Les marques commencent en outre à renforcer la confiance de leurs consommateurs au moment où ils entament leur parcours de revente.

Cette adoption du recommerce signifie l’avènement de l’économie du recommerce. « Le “permafrost” est en train de fondre, car les marques commencent seulement à comprendre que le recommerce est une opportunité et non un coût », déclare Raffy Kassardjian, CEO de Parker Lane Group et fondateur de RLVD.com. Étant donné qu’un consommateur moyen jette 31,75 kilogrammes de vêtements par an, cette possibilité peut également être appliquée à la « garde-robe nationale ».

Dans ce contexte d’évolution de l’excès et de la propriété, Parker Lane Group lance RLVD.com (prononcé également « Reloved »). Cette initiative prend la forme d’une place de marché de prêt-à-porter D2C/B2C unique en son genre, qui comprend des options de location et d’achat de pièces usagées. RLVD.com commencera par un modèle B2C et prévoit d’étendre son champ d’action au C2C peu après, ce qui permettra aux marques et aux consommateurs de revendre leurs produits sur le site.

« Le consumérisme conscient et les tendances à évolution rapide ont usurpé le modèle traditionnel de la propriété », explique Lisa Panvino, responsable de la stratégie de la plateforme de revente en tant que service (RaaS). « Les nouvelles technologies permettent à chacun de reconnaître la nature éphémère de la mode, ce changement de paradigme a reclassé les consommateurs en “entrepreneurs” potentiels », a-t-elle ajouté.

Le groupe PLG redéfinit les paradigmes désuets

Alors même que les mentalités des consommateurs évoluent, les marques justifient leurs propres productions d’une manière qui dépasse les limites des niveaux de production acceptables. Le recommerce peut aider l’industrie à appliquer une philosophie de décroissance à ses niveaux de production de vêtements et à soutenir l’économie d’une manière qui puisse profiter à la société et à la planète.

Parker Lane Group reconnaît que, si la mode fait partie intégrante de nos vies, l’équilibre entre la mode et l’empreinte carbone doit être rétabli afin que notre niveau de production soit en harmonie avec la nature.

L’entreprise cherche à insuffler de l’air frais dans cet espace et comprend qu’un véritable changement s’annonce. Elle embrasse le changement de paradigme autour de la propriété et cherche à construire l’infrastructure de l’économie du recommerce en redéfinissant les déchets et les stocks excédentaires auprès des consommateurs et des détaillants.

En saisissant cette évolution, RLVD.com contribuera à présenter les « stocks excédentaires » des marques et des consommateurs comme des vêtements ayant une valeur intrinsèque. En fin de compte, une partie de leur mission consiste à aider les marques à prendre conscience que les stocks excédentaires ne peuvent décemment plus être qualifiés de « déchets ».

« Le problème est que la compréhension qu’ont les marques des solutions de surstockage est complètement hétérodoxe par rapport à l’évolution des habitudes des consommateurs et du récit de la valeur », explique Raffy Kassardjian. « Elles trouvent des solutions dans des représentations désuètes et ignorent l’évolution qui s’annonce. »

Les marques doivent gérer les excès sans craindre les pires scénarios, comme l’érosion de la marque, car cette façon de penser reste trop déconnectée de la pensée des consommateurs. Sinon, elles se mettront dans une situation où elles donneront la priorité à la valeur intrinsèque de la marque qui, en réalité, n’existe pas sans le consommateur.

Raffy Kassardjian explique que le groupe Parker Lane « est devenu un métonyme de recommerce et d’excellence. RLVD.com va poursuivre dans cette voie en devenant une place de marché unique de type D2C et C2C. » En explorant un service plus large, ce site de recommerce se positionnera en emblème de la proposition selon laquelle le secteur doit changer sa façon de considérer les stocks excédentaires. Le site permettra aux marques et aux consommateurs de se réunir et de fournir un « service véritablement communautaire, en remettant en question les édifices redondants du passé ».

« Nous avons conscience que la mode pollue, mais nous nous battons pour la rendre plus vertueuse ; les consommateurs achèteront toujours des vêtements, mais c’est la manière dont ils achètent et ce qu’ils achètent qui change tout », explique Aleksandra Banasik, directrice de l’exploitation du groupe Parker Lane. « Nous voulons faire partie de la solution plutôt que du problème. »

Plutôt que d’aggraver le problème en produisant davantage de marchandises, RLVD.com veut faire preuve de créativité dans sa façon d’aborder le dilemme des stocks excédentaires, qu’il s’agisse de particuliers ou d’entreprises. Leur solution : explorer les valeurs du recommerce et prolonger le cycle de vie des produits. RLVD entend garantir un emballage et une expédition neutres en carbone, ainsi qu’un modèle d’abonnement. Ce n’est pas tout, car RLVD s’efforcera aussi d’ouvrir le dialogue sur la durabilité au sein de sa communauté en ligne par le biais des médias sociaux, des événements du secteur et du journal du site.

PLG construit l’infrastructure de l’économie du recommerce

Comprendre les complexités de la gestion du processus de recommerce et de la chaîne d’approvisionnement exige une grande expertise. La plupart des entreprises ne disposent ni de la technologie, ni de l’expertise nécessaires pour y faire face, et risquent donc de se laisser distancer.

Alors que de nombreuses marques refusaient auparavant d’envisager d’autres réalités, Parker Lane Group met au point depuis dix ans une solution de classe mondiale. La technologie, la chaîne d’approvisionnement et l’expérience de RLVD.com alimentent chaque point de contact de cet écosystème naissant de marques, de consommateurs et de revendeurs travaillant ensemble. La plateforme de recommerce rend la gestion des stocks incroyablement facile.

La chaîne d’approvisionnement de bout en bout de Parker Lane Group fusionne de manière transparente les services de recommerce, de location et de recyclage pour apporter transparence, valeur, efficacité, durabilité, perspectives et solutions. Une fois que les marques et les particuliers se sont inscrits et ont intégré leur inventaire à l’aide des outils fournis, RLVD.com prend en charge le contrôle de la qualité, le marketing, la logistique et l’exécution. Le site Internet utilisera les nouvelles technologies d’authentification des produits sur le marché de la revente de produits de luxe, telles que le NFT et la blockchain. L’objectif : établir une norme industrielle et fournir une authentification de haute qualité pour une expérience à l’épreuve de la contrefaçon.

Le groupe Parker Lane reconnaît que « le paysage de la propriété a changé, passant de l’artefact à l’expérience, dans une optique de circularité », comme l’explique Raffy Kassardjian. C’est pourquoi RLVD.com se donne pour mission de définir une approche équilibrée de la consommation pour les marques, les consommateurs et l’environnement dans l’optique d’une économie de recommerce de décroissance.

À propos de RLVD.com

RLVD.com est une place de marché de prêt-à-porter de luxe basée à Londres qui propose aux consommateurs de louer ou d’acheter des articles « reloved » ou « preloved » à prix réduit. Fondée par Parker Lane Group, cette plateforme fait partie de la solution complète de Resale-as-a-Service (RaaS) de l’entreprise de recommerce et est également implantée en Pologne. Le lancement de RLVD.com est prévu pour mai 2022. La société renforce actuellement ses ressources en interne et cherche de nouveaux talents.

Aleksandra Banasik COO of Parker Lane Group, courtesy of the brand
Maya Kokerov Communications Manager of Parker Lane Group, courtesy of the brand
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