Teddy Riner lance « Fightart », sa marque de vêtements de sport
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C’est aux Jeux Olympiques de Tokyo que Teddy Riner a présenté en exclusivité la première pièce issue de sa propre marque « Fightart », un kimono brodé d’un « R » stylisé sur la manche gauche, rappelant son nom « Riner ».
L’objectif de susciter la curiosité du public et des médias a réussi et quelques jours plus tard, le célèbre sportif a dévoilé les premières informations sur cette marque. Baptisée « Fightart », elle se veut accessible à tous, respectueuse de l’environnement et éthique. Les premières pièces ont été mises en vente le 14 mars 2022.
La marque propose un large choix de pièces allant du kimono, aux protections corporelles pour les sports de combat et les accessoires d'entraînements comme les boucliers de frappe, les ceintures. « Fightart » commercialise aussi des vêtements près du corps en lycra spandex, pantalons leggings ou longues parkas.
« La marque est née d’un constat simple, explique Teddy Riner, dans un communiqué. Dans l’univers des sports de combat et des arts martiaux, il existait une réelle opportunité de créer une belle marque, engagée et stylée, répondant aux attentes de tous les pratiquants, qu’ils soient néophytes ou experts. L’idée était de créer une marque qui puisse être un véritable outil de performance, quel que soit le niveau de pratique. Et de livrer des produits accessibles, avec une touche esthétique bien différenciante de tout ce que l’on pouvait trouver jusqu’alors sur le marché. »
« Fightart » doit son nom à « l’art du fight », notion propre à tous les arts martiaux et les sports de combat. « C’est aussi un rappel au design et au soin particulier qui est apporté à nos différentes pièces », explique Nicolas Poy-Tardieu, cofondateur de la marque.
La marque « Fightart » va être commercialisée au sein d’un large réseau de distribution et sur un site de vente en ligne dédié, lancé en même temps que l’arrivée des premiers produits en magasins. A moyen terme, « Fightart » compte proposer ses produits dans une douzaine de pays européens. « Nous visons aussi l’international, bien entendu. D’ailleurs, dès la fin de l’année 2022, nous serons présents en Amérique du Sud », expliquent les fondateurs.