Indiyah Polack X PrettyLittleThing : une collection sexy qui « tue sur les réseaux sociaux »
loading...
La star de Love Island et influenceuse, Indiyah Polack, lance sa toute première collection de mode pour la marque de fast fashion, PrettyLittleThing.
Et une influenceuse de plus qui crée une collaboration avec une marque de mode. Indiyah Polack, ambassadrice pour la market place PrettyLittleThing depuis qu'elle a quitté la villa Love Island, a travaillé avec le responsable du design, Chris Parnell, sur une collection inspirée de son propre style.
Commentant la collection, Indiyah Polack a déclaré dans un communiqué : « J'ai adoré travailler avec les designers de PrettyLittleThing. Ils m'ont vraiment permis d'explorer de nouvelles idées et d'incorporer mon propre style dans ces pièces. Le processus a été très long et j'ai écouté les demandes de mes fans en matière d'habillement pour les festivals. C’est une progression naturelle et suis excitée de partager cela avec tout le monde. »
Le motto (la devise) c'est « slay 24/7 » (ça tue 24 heures par jour, sept jours par semaine)
La collection Indiyah Polack X PrettyLittleThing cible clairement la génération Z, amatrice de téléréalité et soucieuse de plaire sur les réseaux sociaux : « si vous êtes comme Indiyah avant Love Island et que vous cherchez le grand amour, elle vous a réservé quelques looks à couper le souffle pour votre prochain date (rendez-vous) ».
Crop top et bustier en denim (mélange coton, rayon et polyester) ; micro jupe et corset imitation cuir (viscose et polyurethane) très « sassy » (insolents), imprimés façon corps audacieux sur tissu résille « parfaits pour capter tous les regards », sélection de robes moulantes « qui vous feront gagner un max de like sur Insta » ; ensemble en satin qui snatch (arrache) super bien la silhouette à porter avec des mules à brides fines et quelques bijoux gold fins.
Le tout a des prix qui tournent autour de trente euros (le site ne précise pas où ces vêtements sont fabriqués). De quoi faire bondir les metoo, rugir les écolos, plaisir à une certaine clientèle. Et donner du grain à moudre à ceux qui voient d’un œil un peu affolé l’érotisation des adolescentes sur les réseaux sociaux.