Maje et Sandro : deux griffes qui ensorcèlent les femmes

L’une (Maje) vise les jeunes femmes savamment décalées un peu bohèmes sur les bords, l’autre, Sandro habille les femmes à la séduction assumée, strictes et sexy, pourtant les deux petites marques ont une chose en commun. Elles représentent la réussite en famille de deux sœurs qui se sont lancées dans la création après quelques années passées dans le quartier du Sentier à Paris.

Judith Milgrom, la fondatrice de Maje et sa soeur Evelyne Chetrite (à la tête de Sandro) ont voulu comblé le créneau qui existe entre H&M et Isabel Marant et Vanessa Bruno avec une mode à la fois créative et accessible.

C’est chose faite : les Parisiennes comme les étrangers se sont entichées des deux griffes à la « French touch » où l’on trouve toujours la jolie pièce dans le ton au prix abordable (autour de 135 euros).

Implantée dans 33 pays à travers plus de 380 points de vente, Maje vient de fêter ses 10 ans.

Pour Sandro, la marque cadette en 2007 les anciens dirigeants de Comptoir des cotonniers ont repris la griffe. Depuis 63 boutiques ont été ouvertes en France, 25 à l’étranger, avec une centaine prévues dans l’Hexagone d’ici la fin de l’année.