Rdv au café " couture "
By FashionUnited
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Martena Duss et Sissi Holleis, deux passionnées de la mode, viennent d'ouvrir le Sweat Shop, le premier café couture de Paris.Situé dans le quartier du canal Saint-Martin dans ce lieu d' échange pour les professionnels du textile et de la mode, on peut y siroter un coca ou participer aux ateliers, organisés cinq fois par semaine pour débutants. On y trouve 10 postes de travail comprenant des machines à coudre, surjeteuses, brodeuses, tables de découpe.Sur le principe des cybercafés, chacuna la possibilité de louer une machine à coudre sur place, à l’heure (6 euros) ou au forfait. À tout moment de la journée, les clients peuvent venir s’installer à un poste de travail et commencer à coudre en utilisant une machine prête à l'emploi.
Dépasser l'envie « acheter-porter-jeter » ! Sweat Shop s’adresse ainsi à tous ceux qui veulent apprendre, créer, transformer, se perfectionner et recycler leur garde-robe. Sans oublier ceux qui n'ont pas la chance d'avoir de machine chez eux.
"En Europe du Nord, les travaux manuels sont valorisés. On apprend la couture à l'école, et presque toutes les familles possèdent une machine à coudre, explique Martena Duss.
"Ici, c'est moins courant. Beaucoup de mes amies m'appelaient pour me demander si elles pouvaient passer chez moi pour utiliser ma machine, réparer une fermeture Eclair, faire un ourlet...", confie la co- fondatrice au journal Le Monde.
"Notre idée colle à deux tendances, analyse Sissi Holleis. Le besoin d'échanges et l'envie de créer sans gaspiller, en recyclant et en s'amusant."Le nom du café est un clin d'oeil. Le terme anglais "sweatshop" désigne habituellement une manufacture dans laquelle les employés sont exploités. "Ici, c'est tout le contraire, les gens payent pour travailler et se faire plaisir", explique Sissi Holleis.
On apprécie l'esprit " atelier de création collectif " du café avec son coin salon de thé, décoré et orné de meubles chinés et customisés.
Dépasser l'envie « acheter-porter-jeter » ! Sweat Shop s’adresse ainsi à tous ceux qui veulent apprendre, créer, transformer, se perfectionner et recycler leur garde-robe. Sans oublier ceux qui n'ont pas la chance d'avoir de machine chez eux.
"En Europe du Nord, les travaux manuels sont valorisés. On apprend la couture à l'école, et presque toutes les familles possèdent une machine à coudre, explique Martena Duss.
"Ici, c'est moins courant. Beaucoup de mes amies m'appelaient pour me demander si elles pouvaient passer chez moi pour utiliser ma machine, réparer une fermeture Eclair, faire un ourlet...", confie la co- fondatrice au journal Le Monde.
"Notre idée colle à deux tendances, analyse Sissi Holleis. Le besoin d'échanges et l'envie de créer sans gaspiller, en recyclant et en s'amusant."Le nom du café est un clin d'oeil. Le terme anglais "sweatshop" désigne habituellement une manufacture dans laquelle les employés sont exploités. "Ici, c'est tout le contraire, les gens payent pour travailler et se faire plaisir", explique Sissi Holleis.
On apprécie l'esprit " atelier de création collectif " du café avec son coin salon de thé, décoré et orné de meubles chinés et customisés.
Sweatshop
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